L’Avenue Bouvier c’est un peu les Champs Elysées de Virton.
Au départ, c’est une route qui reliera le centre Ville à la Grande Gare de Virton – Saint-Mard ainsi qu’au Collège Saint-Joseph. Des Notables y feront construire de grosses maisons bourgeoises dont certaines seront appelées « Château » comme le bâtiment Foncin.
On donnera à la plus grande Avenue de Virton qui se termine en territoire saint-mardois,
le nom du député libéral Bouvier qui eut l’idée de sa création.

Depuis la Grand’Place, l’entrée de l’Avenue Bouvier au tout début du 20ème siècle entourée de 2 cafés renommés de l’époque. A gauche, le café de l’hôtel de ville qui deviendra par la suite le café du tribunal et à droite, le café de l’Avenue.

L’entrée de l’Avenue Bouvier au début des années 1980.

A droite, la destruction des anciens bâtiments pour y construire la nouvelle banque Belfius.

Revenons au tout début du 20ème siècle pour retrouver une entrée de l’Avenue très animée.

A droite, l’illustre maison Simonet.

En ces débuts de 20ème siècle, une autre entrée de l’Avenue mais plutôt tristounette !

L’Avenue Bouvier s’électrifie aussi.

A droite, l’école des Sœurs, A gauche, il y avait un fort dénivelé avant la construction de la nouvelle école communale de L’ARNO.

Les entrées des écoles des Sœurs.

Le début de l’Avenue Bouvier avant les villas.

La Villa de Notaire Foncin que l’on appela « Château Foncin ».

Le Château Foncin illustré à l’encre de chine par le peintre Alain Baudson.

C’est la Villa du notaire Robert.

L’Avenue Bouvier en carte-vue colorisée au début des années 1960.

Vue aérienne de l’Avenue Bouvier du début des années 1960.

Vue aérienne où l’on voit l’ensemble des écoles des Sœurs.

Première carte-vue colorisée du début des années 1960.

Depuis la hauteur du château Foncin, vers la Grand’Place, une Avenue Bouvier avec des arbres gigantesques.

Dégâts occasionnés aux grands arbres de l’Avenue Bouvier suite au cyclone de 1904.

En 1935, on trouva que ces Arbres (Ormes et Marroniers) étaient devenus Trop Grands et Encombrants …
… alors on décida de les Abattre !

L’Avenue Bouvier vers Virton, à la hauteur des entrées de rues Chanoine Crouss et Octave Foncin.

Avant, au milieu de l’Avenue Bouvier, on s’y promenait comme on se promène en forêt.

Au croisement des rues Chanoine Crouss et Octave Foncin, se trouvent sur la droite les Villas des Notaires Lambinet et Robert.

La photo noir et blanc de départ devient, ici, une version colorisée.

Une carte-vue de l’armée allemande en 1914.

La construction du Sacré Cœur.

Suite à une promesse faite par les bourgeois de la ville, on érigea en 1930 ce monument dédié au Sacré Cœur de Jésus pour le remercier d’avoir épargné Virton des atrocités commises en 1914 par l’armée allemande.

A hauteur du Collège Saint-Joseph, une carte-vue couleur qui nous montre une Avenue Bouvier assez déserte.

Une ancienne photo de l’Avenue Bouvier sous la neige.

Deux bourgeoises déambulent au milieu de l’Avenue Bouvier.

Même la charrette s’arrête pour la photo.

A droite, un poteau de signalisation indique déjà les limitations de vitesse.

La vitesse maximale autorisée de l’époque était 10 km/h pour les vélos comme pour les motos ou même les autos.

L’Avenue Bouvier en pleine nature.

A droite, on remarque que la rue Ribonnet n’a pas encore été lotie. Juste après se trouve la villa du Notaire Boever, elle deviendra celle des Notaires Culot.

Bas de l’Avenue Bouvier début des années 1960 où on arrive en territoire saint-mardois.

Défilé de chars sur l’Avenue à la libération de 1944.

L’Avenue Bouvier à la hauteur de Saint-Mard

Depuis le carrefour du bas de l’Avenue Bouvier, la hauteur de ces grands arbres au début du 20ème siècle.

Carrefour désert du début de l’Avenue Bouvier côté saint-mardois.

Entrée déserte du bas de l’Avenue Bouvier avec des arbres « modèle réduit ».

Des travailleurs revenant de leur boulot par le chemin de fer
ont repris leur vélo pour retourner chez eux.

Le réservoir circulaire du milieu de la photo capte l’eau de la fontaine pour la diriger vers un château d’eau. Celui-ci assurait la distribution d’eau pour les locomotives à vapeur de la gare voisine de Virton-Saint-Mard.

Détail d’une ancienne carte-vue colorisée, où l’on voit distinctement la fontaine Martin qui était
le lavoir du bas de l’Avenue Bouvier. Elle se trouvait sur le passage d’une ancienne voie romaine menant à Vieux-Virton. A l’époque de cette photo, il n’y avait pas encore eu de construction pour le cacher.

Au début du 20ème siècle, les Gosses jouaient en plein milieu du Carrefour du bas de l’Avenue.

Carrefour assez désert à cette époque.

Après le carrefour, un des café les plus célèbres du Quartier de la Gare était le café de la Station qui deviendra le café des Huit Heures.

Gérard Piessevaux avait appelé son café le café de l’Avenue.